Léa Bégin a découvert sa passion pour la beauté grâce à sa tante Marie-Josée Lafontaine, maquilleuse de renom à New York.  Elle a débuté chez MAC à 18 ans, où elle a perfectionné son art en maquillant une très grande variété de visages pendant trois ans.

Depuis maintenant plus 15 ans, Léa s’épanouit dans l’industrie de la beauté. Son succès repose sur sa volonté de gravir chaque échelon, et son portfolio bâti avec détermination. Ce qui distingue Léa, c’est son intérêt pour les looks naturels, lumineux et en transparence. Elle ne cherche pas à transformer, mais à révéler la beauté authentique pour encourager le  bien-être.

Beauties Lab, initialement un blogue et un lieu de rencontre est maintenant bien installé au coin de Saint-Laurent et Laurier Ouest.  L’équipe d’expert.e.s partage une vision commune : encourager la consommation éclairée et moderniser les rituels beauté avec une approche centrée sur le plaisir et la simplicité.

Elisabeth a eu l’opportunité de rejoindre l’aventure de Lio Fratelli à la fin des années 90, et cela fait désormais 24 ans que cette entreprise existe. C’est avec Léo et Lisette qui font ensembles Lio, deux frêres et soeurs, Fratelli, qu’Elisabeth a travaillé très fort pour bâtir la réputation de Lio Fratelli sur Laurier.

Forte de son expérience en tant qu’esthéticienne au Brésil, Elisabeth a une grande éthique de travail qui lui a permis d’acquérir une vaste clientèle d’Outremeont et du Mile End et plus d’une quinzaine d’employés sous son aile. 

Pour Elisabeth, c’est une privilège et une fierté de travailler étroitement avec ses deux filles. Natasha, riche de son expérience aux côtés de sa mère, met de l’avant la persévérance comme la valeur principale à inculquer aux jeunes entrepreneurs.

Il y a maintenant 18 ans que le restaurant Jun I a vu le jour, traversant avec succès de multiples évolutions pour devenir ce qu’il est aujourd’hui. Dès ses débuts, il s’est démarqué en étant l’un des pionniers à proposer un menu dégustation japonais, une approche novatrice qui a immédiatement séduit les amateurs de cuisine japonaise. 

L’âme du restaurant, c’est bien sûr Junichi Ikematsu et son équipe dévouée qui travaillent ardemment pour créer des plats uniques et innovants à partir des meilleurs ingrédients japonais présentés dans le style dégustation des classiques français

Pierre Comeau est dentiste depuis plus de 25 ans et ça fait maintenant 20 ans qu’il est installé sur Laurier Ouest. Passionné de l’esthétique du sourire, Pierre est entouré d’une équipe qui partage sa passion et l’aide à transformer les sourires.

Lorsqu’il a ouvert le Spa Dentaire en 2003, Pierre avait pour objectif de créer une expérience dentaire plus positive. C’est l’odeur apaisante d’eucalyptus, le service attentionné et même la présence d’un massothérapeute qui soulagent l’inconfort d’une opération importante.

Pour avoir du succès en tant qu’entrepreneur, Pierre privilégie la constance et la reconnaissance par dessus tout et c’est avec son équipe qu’il a la chance de pratiquer son état d’esprit.

Pour Philippe, le succès d’un détaillant est un processus continu, un effort quotidien plutôt qu’une simple mission. Il souligne que cela demande du courage, de la passion, de la patience, mais surtout, un amour profond pour la clientèle. Même en tant que nouveau venu sur la rue, il constate une réaction très positive de la part de la communauté locale.

Laurier O, c’est une avenue dont il connait le pouls, et c’est l’intérêt de la clientèle son sentiment d’appartenance au quartier qui l’a motivé à ouvrir la branche masculine du Sarah Pacini.

Michel Brisson est sur l’avenue Laurier O depuis 33 ans, et sous le nom de Michel Brisson, son entreprise prospère depuis 21 ans. Il a découvert son amour pour la rue alors qu’il était étudiant à l’université en prenant l’autobus de la ligne 51. C’est en travaillant sur la rue qu’il a tissé des liens importants avec la clientèle afin de répondre à une niche plus éclectique du quartier.

Pour Michel, lorsqu’on à la sensibilité qu’il faut, il ne reste plus qu’à foncer et s’investir pour réussir dans son milieu. 

Laurier O, selon lui, c’est le milieu des arts avec le milieu des affaires et c’est la jonction d’Outremont avec le Mile End, deux quartiers qui lui sont chers.

Léa Bégin a découvert sa passion pour la beauté grâce à sa tante Marie-Josée Lafontaine, maquilleuse de renom à New York.  Elle a débuté chez MAC à ses 18 ans, où elle a perfectionné son art en maquillant une très grande variété de visages pendant 3 ans.

Depuis maintenant plus 15 ans, Léa s’épanouit dans l’industrie de la beauté. Son succès repose sur sa volonté de gravir chaque échelon, et son portfolio bâti avec détermination. Ce qui distingue Léa, c’est son intérêt pour les looks naturels, lumineux et en transparence. Elle ne cherche pas à transformer, mais à révéler la beauté authentique pour encourager le  bien-être.

Beauties Lab, initialement un blogue et un lieu de rencontre est maintenant bien installé au coin de Saint-Laurent et Laurier Ouest.  L’équipe d’expert.e.s partage une vision commune : encourager la consommation éclairée et moderniser les rituels beauté avec une approche centrée sur le plaisir et la simplicité.

Jean-Michel Blond, originaire de Québec, a tracé son parcours au cœur de Montréal depuis 15 ans. De son premier projet à Verdun, le Tripes & Caviar jusqu’à aujourd’hui, Jean-Michel a toujours rêvé d’ouvrir un beach club à la turc et c’est dans cette optique qu’il devient chef exécutif au Kabinet tout récemment.

Le Kabinet incarne une époque spécifique, Paris 1971, l’hôtellerie française à son meilleure. Jean-Michel crée des menus qui racontent une histoire, mélangeant le charme parisien classique avec une touche personnelle. 

La rue Laurier selon Jean-Michel : sexy, somptueuse, accessible et hétéroclite et ses coups de coeur : L’Émouleur, le Henrietta,  le café Novanta.

Elisabeth a eu l’opportunité de rejoindre l’aventure de Lio Fratelli à la fin des années 90, et cela fait désormais 24 ans que cette entreprise existe. C’est avec Léo et Lisette qui font ensembles Lio, deux frêres et soeurs, Fratelli, qu’Elisabeth a travaillé très fort pour bâtir la réputation de Lio Fratelli sur Laurier.

Forte de son expérience en tant qu’esthéticienne au Brésil, Elisabeth a une grande éthique de travail qui lui a permis d’acquérir une vaste clientèle d’Outremeont et du Mile End et plus d’une quinzaine d’employés sous son aile. 

Pour Elisabeth, c’est une privilège et une fierté de travailler étroitement avec ses deux filles. Natasha, riche de son expérience aux côtés de sa mère, met de l’avant la persévérance comme la valeur principale à inculquer aux jeunes entrepreneurs.

C’est un concours de circonstances qui a mené Marianne Côté à La Chronique. Avant de poursuivre ses études en sommellerie à Toronto, elle a travaillée pendant plusieurs années  en assurance qualité dans le milieu pharmaceutique.

Marianne a trouvé son chez soi professionnel au réputé restaurant La Chronique. Son nombre de places limitées et son personnel attentionné crée une ambiance chaleureuse et professionnelle.  En tant que sommelière en chef, elle gère une des plus belles carte des vins de Montréal, ce qui lui permet de rencontrer des vignerons de différentes régions vinicoles. Elle participe aussi à plusieurs évènements afin de suivre les tendances vinicoles et ainsi, faire des achats qui contribuent à l’agrandissement de la carte qui est maintenue depuis plus de vingt-cinq ans.

Avant de joindre l’équipe de La Chronique, Marianne travaillait en collaboration avec le marketing dans le bureau chef d’une agence de vin à Toronto. C’est là qu’elle a découvert sa passion pour animer des conférences sur l’univers du vin. Passion qui l’a menée à joindre une équipe de sommelières québécoises réputées qui donnent des conférences en milieux corporatifs et caritatifs.

Il y a maintenant 18 ans que le restaurant Jun I a vu le jour, traversant avec succès de multiples évolutions pour devenir ce qu’il est aujourd’hui. Dès ses débuts, il s’est démarqué en étant l’un des pionniers à proposer un menu dégustation japonais, une approche novatrice qui a immédiatement séduit les amateurs de cuisine japonaise. 

L’âme du restaurant, c’est bien sûr Junichi Ikematsu et son équipe dévouée qui travaillent ardemment pour créer des plats uniques et innovants à partir des meilleurs ingrédients japonais présentés dans le style dégustation des classiques français

Danielle Gélinas a toujours nourri le rêve de diriger sa propre boutique. Bien qu’elle ait suivi des cours de couture et confectionné ses propres vêtements, son parcours académique l’a conduite à étudier la finance et à travailler dans le domaine de la comptabilité. Toutefois, en 1989, une opportunité unique s’est présentée lorsque la boutique 5e Avenue, qui n’avait qu’un an à l’époque, l’a accueillie en tant qu’acheteuse. Au fil des années, elle a fini par racheter la boutique aux deux propriétaires originaux, devenant ainsi la seule propriétaire en 2003.

En 2023, Danielle souligne l’importance de croire en ses rêves, quelle que soit la trajectoire empruntée, et de faire preuve de patience. Elle encourage à prendre des risques une fois que l’entreprise est lancée, et met en avant la nécessité d’une gestion rigoureuse tout en prenant soin de la clientèle. Dans le domaine de la mode, elle insiste sur l’importance d’être bien ancré, de définir un plan et un créneau spécifique, tout en cultivant des relations solides avec la clientèle.

Pierre Comeau est dentiste depuis plus de 25 ans et ça fait maintenant 20 ans qu’il est installé sur Laurier Ouest. Passionné de l’esthétique du sourire, Pierre est entouré d’une équipe qui partage sa passion et l’aide à transformer les sourires.

Lorsqu’il a ouvert le Spa Dentaire en 2003, Pierre avait pour objectif de créer une expérience dentaire plus positive. C’est l’odeur apaisante d’eucalyptus, le service attentionné et même la présence d’un massothérapeute qui soulagent l’inconfort d’une opération importante.

Pour avoir du succès en tant qu’entrepreneur, Pierre privilégie la constance et la reconnaissance par dessus tout et c’est avec son équipe qu’il a la chance de pratiquer son état d’esprit.

Maxime Vanasse a tracé un parcours professionnel des plus atypiques. Dès son plus jeune âge, il a affiché un esprit entrepreneurial prononcé. À l’âge de 14 ans, il a mis à profit sa détermination en engageant tous ses amis du secondaire dans une entreprise de peinture de voisinage.

Cela fait 45 ans que Maxime est dans Outremont, et pour lui, Laurier Ouest c’est comme vivre à l’européenne, avec des commerces de proximité, c’est une rue chic et en même temps débonnaire.

Ses coups de coeur Laurier O: Michel Brisson, Leméac et Bui Optométriste

Pour Philippe, le succès d’un détaillant est un processus continu, un effort quotidien plutôt qu’une simple mission. Il souligne que cela demande du courage, de la passion, de la patience, mais surtout, un amour profond pour la clientèle. Même en tant que nouveau venu sur la rue, il constate une réaction très positive de la part de la communauté locale.

Laurier O, c’est une avenue dont il connait le pouls, et c’est l’intérêt de la clientèle son sentiment d’appartenance au quartier qui l’a motivé à ouvrir la branche masculine du Sarah Pacini.

Jean-Daniel Rohrer est originaire de Suisse et a migré au Canada en 1989. Après avoir travaillé dans le domaine de la communication, il a pris la décision en 2004 de se consacrer entièrement à sa passion pour la peinture. 

Le conseil précieux qu’il offrirait aux jeunes aspirants serait de cultiver l’enthousiasme, de devenir leur propre meilleur vendeur, et de maîtriser l’art de la communication. 

Pour Jean-Daniel, Outremont est l’espace vert de Montréal, où il y a une joie de vivre et une niche particulière pour l’art. En particulier, Laurier O est une rue large, pleine de délicatesse.

Ses coups de coeur Laurier O: Gourmet Laurier, Mélilot, Leméac et Chez Lévêque

Michel Brisson est sur l’avenue Laurier O depuis 33 ans, et sous le nom de Michel Brisson, son entreprise prospère depuis 21 ans. Il a découvert son amour pour la rue alors qu’il était étudiant à l’université en prenant l’autobus de la ligne 51. C’est en travaillant sur la rue qu’il a tissé des liens importants avec la clientèle afin de répondre à une niche plus éclectique du quartier.

Pour Michel, lorsqu’on à la sensibilité qu’il faut, il ne reste plus qu’à foncer et s’investir pour réussir dans son milieu. 

Laurier O, selon lui, c’est le milieu des arts avec le milieu des affaires et c’est la jonction d’Outremont avec le Mile End, deux quartiers qui lui sont chers.

Patrice Brunet est un homme d’affaire qui se trouve à faire du droit depuis plus de 30 ans. Il a fait ses débuts en tant que bénévole pour Triathlon Québec en 1990, et est maintenant arbitre au Centre des règlements des différents sportifs au Canada, ainsi qu’au Tribunal international du sport à Lausanne. De plus, il gère un cabinet d’avocats spécialisés en sport et en immigration.

Dans le domaine de l’immigration, il se consacre à aider les individus à bâtir une vie meilleure et à soutenir les entreprises en comblant les lacunes de main-d’œuvre. Il offre un standard de services équivalent aux grands cabinets juridiques.